Les législations égyptiennes démontrent, une fois consultées, l’ardeur de l’Etat et ses concepts juridiques solides dont le plus important est le fonds public. Il s’agit d’un soutien à tous les citoyens, d’un moyen de prestation des services publics qui leur sont rendus. Ceci est fort révélé dans la Constitution égyptienne, qui a conclu au fil de longues années, à la répartition du bien en trois genres : bien public, bien privé et bien coopératif. Vu qu’il a toujours été accessible que quelqu’un soit soucieux de la gestion et de la protection des biens privé et coopératif, et comme le bien public a toujours eu besoin d’une volonté constitutionnelle et juridique pour le protéger, d’une volonté politique et d’une conscience populaire pour le préserver